Les bonnes « recettes » du réseau urbain strasbourgeois
En 2015, les transports publics de Strasbourg ont coûté moins cher que prévu à l’Eurométropole. Une singularité qui s’explique par la hausse de la fréquentation et des tarifs – donc des recettes commerciales – et la baisse des charges d’exploitation. En conséquence, cette SEM a un taux de couverture des dépenses par les recettes de 40,6%, bien supérieur à celui de la moyenne nationale.