L’utopie d’un « super Intercités » circulant à 200 km/h
L’expertise commandée par la Fnaut montre que le réseau classique ne permet pas de faire circuler des trains à 200 km/h de bout en bout comme semble notamment le croire Alain Vidalies. Et le rélèvement de la vitesse des lignes coûterait beaucoup trop cher, surtout au regard du faible gain de temps attendu. Ainsi, pour la Fnaut, il serait utopique d’imaginer que l’avenir du train passe par des Intercités circulant à 200 km/h, et de laisser tomber tout projet de LGV.